Amazon.it:Recensioni clienti: Yoga (Fiction) (French Edition)

J'aime cet auteur qui sous couvert d'aborder n'importe quel sujet , se confie et vous emmène loin du titre et de ses apparentes finalités. trèa bien écrit , comme une conversation , entre amis.

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Gabriele

Quel cassement de dos

Recensito in Italia il 21 settembre 2020

Che noia, io io io ed ancora io, che noia.
Che noia lo yoga, che povera descrizione della malattia, quanta poca empatia.

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katia

Bellissimo

Recensito in Italia il 18 febbraio 2021

Apprezzo molto Carrere e ho trovato questo suo ultimo libro coinvolgente, intenso, interessante.

Simone bagliani

Lingua originale

Recensito in Italia il 5 gennaio 2022

Non era chiaro che fosse in lingua originale

IL NUOVO LIBRO DI CARRÈRE

Paolo Bogo

Recensito in Italia il 4 dicembre 2020

Siamo tra i tantissimi ad amare Emmanuel Carrère. Il colpo di fulmine è arrivato con "Limonov", ma l'entusiasmo è continuato con "Il regno", "A Calais", "Un romanzo russo", "Io sono vivo e voi siete morti" e soprattutto con "L'avversario", uno di quei libri che segnano il lettore. Ci piace dell'autore francese il suo modo di fare sempre dell'autofiction, anche se magari parla di un nazicomunista russo, di Philip Dick, di san Paolo e san Luca o del pluriomicida Jean-Claude Romand.
Questa volta non abbiamo avuto pazienza ad aspettare la traduzione Adelphi del suo nuovo libro, da poche settimane uscito in Francia e ovviamente subito nella lista dei best-seller d'Oltralpe. "Yoga" doveva essere all'inizio dedicato alla passione decennale di Carrère per il tai-chi e per le pratiche di meditazione, ma poi ė diventato un'opera multiforme e pluricentrica, come d'altronde lo è l'esistenza di ciascuno. La descrizione minuziosa di un celebrato ritiro yoga viene interrotta dalla morte nell'attentato a "Charlie Hebdo" di un amico del Nostro, che nel giro di poco tempo si trova catalputato nei meandri abissali della depressione tanto da essere ricoverato in una struttura psichiatrica. Ne uscirà, lentamente, grazie al litio e ad un'esperienza di volontariato nel campo profughi di Leros, isola greca di fronte alla Turchia (già possedimento italiano dopo la guerra giolittiana in Libia), imparando alla fine persino a scrivere al computer con dieci dita e non col solo indice destro.
Il libro è pieno di suggestioni, ricordi di persone importanti per Carrère (il suo editore di sempre, mancato di recente) riferimenti letterari e musicali (le pagine sulla "Polonaise héroïque" di #Chopin sono da applauso) e di riflessioni sul senso dello scrivere di sé e sulla possibilità di fingere quando si afferma di dire la verità. Carrère stesso ci rivela alla fine che parte di quello che abbiamo letto è inventato, spiazzando la fiducia del lettore ingenuo, che magari non è informato delle grane giudiziarie (reali) create da questo libro: una ex moglie che pretende di vedere cancellate le frasi che la riguardano e che ha rivelato alla stampa che le "bugie" dell'autore sono più vaste e complesse di quello che egli stesso dichiari.
Ma alla fine poco importa. La scarsa unità di "Yoga", i suoi andirivieni tra presente, passato prossimo e remoto e il suo mix tra diario intimo, testo autobiografico e romanzo sono - tutti insieme - i motivi che lo rendono interessante.

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Da altri Paesi

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Informatif au début, écœurant de mépris à la fin...

Recensito in Francia il 13 settembre 2020

Après un début assez informatif sur le yoga, n’ayant personnellement jamais lu de guide pratique sur la question, j’ai eu tout compte fait le sentiment que l’auteur prenait plaisir à mépriser le lecteur que je suis.
Ce livre n’est pas une déjection, plutôt un amalgame de matière non transformées, yoga, dépression, migrants, éléments de langage d’un prêt à penser qui s’impose à nous...à nous les détenteurs des 14,99€ qu’il convoite.
Il ne dit pas ô lecteur mon semblable mon frère.
Il me menace, il me violente. Sa force il la tient de son statut de grand écrivain, il tient le glaive de l’édition au dessus de ma tête, il l’utilise pour me soumettre...
Il ne me donnera rien au passage, aucun style, rien de littérature.
Le despotisme ne tolère aucune exception.
A la fin, il révèle qu’il a tapé toute son œuvre avec un seul doigt, l’index de la main droite. Ça lui prend 4 pages de dire ça. J’ai trouvé à gerber ce mépris.

Cet écrivain est mort, lessivé.

Je conserve mon admiration pour le Royaume, livre qui m’a beaucoup apporté.

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Vieto

Son meilleur roman à ce jour.

Recensito in Francia il 29 agosto 2020

De ce bouquin, qui devait être, à l'origine, comme son titre l'indique, un livre sur le Yoga, j'aime tout.
J'aime son aspect composite, où il est question de Yoga, un peu (ce qu'il dit du tai-chi et des arts martiaux me parle beaucoup), de dépression et de la façon dont il s'en est sorti (ce qui me parle d'un proche, qui, lui, ne s'en est pas sorti), beaucoup. Ça parle, en vrac, des attentats de Charlie Hebdo, des réfugiés afghans sur une île grecque, de son histoire d'amour avec une femme dont il ne savait rien. Ça parle de la vie, quoi: tout ces éléments disparates forment une œuvre parfaitement cohérente. J'aime le style, simple et direct. J'aime sa façon de parler très crûment de cul, sans que ce soit jamais obscène.
J'aime le regard sans concession que porte Emmanuel Carrère sur ce qui le motive : devenir un grand écrivain.
Pour moi, un grand écrivain, il l'est. C'est mon auteur préféré.

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Client Kindle

Incohérence, sans aucun intérêt littéraire

Recensito in Francia il 6 settembre 2020

Sauf si vous êtes passionné ou fervent pratiquant du yoga et de toutes les pensées qui s'y rapportent, vous vous ennuierez très rapidement .
Cela commence par une partie tenant d'un bréviaire et du récit d'une sorte de récollection dans une colonie de vacances pour personnes en difficultés de tous ordres.
L'on ne mets pas longtemps à sauter des pages!
Plus loin, l'on retombe vite sur le sujet formant le titre, et l'on a même la description d'un multi-analysé qui revient à la psychiatrie classique.
Insupportable.

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Zob !

Névrose typique du petit bourgeois parisiano-centré.

Recensito in Francia il 5 ottobre 2020

Manu découvre qu'il est bipolaire à soixante balais. Manu va à la rencontre de migrants sur une île Grecque pour échapper à sa vie trop dure, Manu est plein de chagrin pour la perte de l'ami Bernard Marris, un ami dont la vista lui inspire une jalousie assez déplacée. Manu fait des stages de yoga Viprassana qu'il détaille avec une précision édifiante et pénible. Parfois, il rencontre des meufs qu'il emmène dans des hôtels de la gare et il se colle contre elles sans bouger. A ce niveau-là, ce n'est plus du nombrilisme, c'est du "tout à l'ego" totalement démesuré. Manu, c'est Manu le malin, du nom d'un célèbre DJ français, qui veut faire pleurer dans les chaumières pour pouvoir présenter à Môman l'ultime récompense qui lui échappe depuis toujours. C'est cousu de fil blanc, méprisable, dispensateur d'un second degré qui se croit distancié et intelligent (évocation de Houellebecq dont il est jaloux, livre sur le yoga qui doit "cartonner") alors que c'est juste cynique. Carrère a écrit de grandes choses. Là, c'est minuscule. Qu'il ne s'inquiète pas, le petit bonhomme derrière tout ça, maintenant on le voit.

39 persone l'hanno trovato utile