Presidents Last Bang [Edizione: Regno Unito] [Edizione: Regno Unito]
Dettagli prodotto
- Aspect Ratio : 1.78:1
- Lingua : Coreano
- Dimensioni del collo : 18.03 x 13.76 x 1.48 cm; 150 grammi
- Numero modello articolo : HI-001955
- Regista : Im Sang-soo
- Formato supporto : PAL, Importazione
- Data d'uscita : 23 febbraio 2009
- Sottotitoli: : Inglese
- Studio : Third Window Films
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- ASIN : B001MK9ZI0
- Numero di dischi : 1
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Descrizione prodotto
The President s Last Bang depicts the brutal reality and ensuing chaos of a political coup with unapologetic frankness, unexpected humour and unrelieved intensity. Imaginatively recreating the 1979 assassination of South Korean President Park Chung-hee, writer-director Im sang-soo dares to make complex, realistically neurotic characters out of the most polarizing figures in modern Korean political history. Through outwardly cynical, Korean CIA chief Kim secretly nurtures a personal disgust with his dissolute president s embarrassing appetites and impatience with this dissent-mired nation During yet another banquet with President Park, the chief executive s corrupt top advisors and two wary party girls, Kim impulsively improvises a conspiracy that will change the course of the world politics, When Kim and his thuggish enforcer Ju make their move, they initiate a bloodbath that threatens to drown both victim and assassin.
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The President’s last bang retrace à sa manière un événement qui appartient à l’histoire récente de la Corée du sud, l’assassinat du président Park Chung-hee (1917-1979), qui n’a pas laissé le souvenir d’un grand démocrate, si la prospérité naissante du 'Dragon' coréen a bien été au rendez-vous. Si le film d’assassinat politique (raté ou non) est un sous-genre bien identifié dans le genre du film politique, un cinéaste ne serait pas coréen s’il n’introduisait pas un peu de désordre dans un parcours bien balisé. Ce qu’on verra à l’écran en guise d’homme fort de la Corée n’est pas une figure redoutable et semi-légendaire, c’est un petit vieillard banal entouré de sa cour, qui aime dîner en petit comité et écouter des chansons sentimentales avec une jeunette à son bras. Puisque le nœud de l’histoire est connu d’avance, tout est fait pour qu’on s’intéresse à l’avant -la décision du directeur due la CIA coréenne (incarné par Baek Yun-shik), et à l’après – car il y a un après, et on sait depuis l’assassinat de César au moins que tuer un homme ne suffit pas nécessairement à changer le cours des choses comme on l’avait voulu.
Le traitement du sujet mêle ellipses, absence de psychologie, cadrages inattendus, moments burlesques. Il peint froidement un monde chaotique où les hommes sont seuls et où affleure un sentiment d’absurdité. Comme dans le cinéma du hong-kongais Johnny To (pourquoi ai-je tant pensé à Election I et II ?), les acteurs sont parfaitement choisis, incarnant des types humains par leur seule présence à l’écran et leur visage, sans guère avoir besoin de se confier. Dans l’entretien présenté en bonus le réalisateur évoque, comme par hasard, non des films politiques, mais les films de mafia dus à Francis Ford Coppola et Martin Scorcese.
NB : L’édition Potemkine/ Agnès B que je recense inclut bien une version française, si on tient vraiment à éviter la V.O. dûment sous-titrée. En guise de « Director’s cut », il y a simplement quelques images d’archive au début et à la fin en plus de ce qui avait été proposé lors de la sortie en salle. Leur suppression était l’effet du procès intenté par la famille de l’ancien dictateur au réalisateur, qui a pu tourner sans problèmes, mais les ennuis ont commencé au moment de la sortie et avec la distribution du film.
Si ce film n’est peut-être pas l’égal des meilleurs parmi ceux mentionnés plus haut, une fois encore, le cinéma coréen, dont la vitalité ne cesse d’étonner, se signale par la qualité du spectacle offert, l’inventivité de la réalisation (mais signée par des gens qui pensent au spectateur, et non pas simplement à exprimer leur singularité géniale), l’absence d’académisme dans le traitement des sujets.
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