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Anéantir: Roman Copertina rigida – Grande libro, 7 gennaio 2022
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- Lunghezza stampa736 pagine
- LinguaFrancese
- EditoreFlammarion
- Data di pubblicazione7 gennaio 2022
- Dimensioni15.1 x 4.4 x 20.6 cm
- ISBN-102080271539
- ISBN-13978-2080271532
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Dettagli prodotto
- Editore : Flammarion; 1° edizione (7 gennaio 2022)
- Lingua : Francese
- Copertina rigida : 736 pagine
- ISBN-10 : 2080271539
- ISBN-13 : 978-2080271532
- Peso articolo : 839 g
- Dimensioni : 15.1 x 4.4 x 20.6 cm
- Posizione nella classifica Bestseller di Amazon: n. 147 in Letteratura francese
- n. 10,317 in Narrativa letteraria
- n. 26,972 in Narrativa di genere
- Recensioni dei clienti:
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Il y a bien sûr les femmes. Dans l’ordre d’apparition. Prudence, asexuée ; Evangeline, une « chau…e » ; Cécile, vierge au mariage et prieuse ; Indy, elle a droit à tous les qualificatifs… notamment les mots commençant par c et par p ; la médecin chef, une bourgeoise qui […] à l’évocation de Bernard Kouchner ; Véronique, une médiocre pas capable d’aimer ; Madeleine, une pauvre sans commentaires ; la mère de Prudence, franchement pénible ; la copine de sa mère, grande et maigre, très laide. Finalement, il y a uniquement trois femmes qui ont droit à tous les égards tout au long de l’ouvrage : Maryse (elle est bien roulée ; alors, bien entendu) ; Raksaneh (celle-là est bien moulée dans son body ; le lexique Houellebecqien est très étendu) et Carrie Anne-Moss (elle, Paul ne l’a pas rencontrée… alors on ne sait pas si le jugement est définitif). On a d’ailleurs droit à l’apprentissage de Paul avec Magalie, Sirielle et Sandrine avec leurs spécialités à chacune. Il faut admettre toutefois que Paul reconnaît, dans un moment d’égarement sans doute, que « les femmes sont courageuses ».
Ceci explique que les analyses de la vie de couple se limitent aux performances (ou manque de performances) charnelles car, en réalité, il n’y a plus que ça qui compte. La dernière partie du livre est d’ailleurs pathétique à cet égard. Si seulement les scènes de corps à corps étaient décrites avec talent ; mais là aussi, il faudra repasser. On est dans la mécanique pure.
Houellebecq, c’est aussi un défilé de marques, des plus populaires aux plus élitistes. Une bonne quarantaine dans ce livre. Il y a bien sûr des médicaments et de l’alcool, beaucoup d’alcool. Un Tennessee whiskey se taille la part du lion. Malheureusement les éditeurs ont oublié de corriger une faute d’orthographe à son nom. Il y a d’autres fautes mais le monde de l’édition n’est plus ce qu’il était.
Dans les remerciements, Houellebecq demande à ce qu’on le pardonne pour certaines erreurs dans le texte mais demande tout à la fois aux auteurs de mieux se documenter avant d’écrire. Il est vrai qu’avec une meilleure documentation, on n’aurait pas placé une pleine lune le 30 décembre 2026 ou le 27 février 2027. Sauf une autre réforme judiciaire d’ici à 2026, les tribunaux de grande instance n’auront pas réapparu et Villié-Morgon ne dépendra pas des juridictions de Mâcon. Non, les notaires ne prêtent pas serment dans un habit bizarre. Le modèle de la voiture russe du père de Paul n’existait pas en 1977, mais ce n’est qu’un détail. Une relecture de ces longues pages aurait évité de placer en juin une scène en Bretagne quelques jours avant les élections en mai.


Apprenant que ma belle sœur, italienne, était déjà en train de lire ce nouveau roman, je l’ai téléchargé pour pouvoir répondre à ses taquineries. Mal m’en en a pris !!
Poussé par un défi amical, j’ai lu tous les romans de l’auteur, souvent en me bouchant le nez ! Seul La carte et le territoire était un très bon livre, ramassé original avec des considérations artistiques et existentielles pertinentes, les jurés Goncourt ne sont pas des idiots ! Sinon, un autre roman faisait preuve de prémonition quant à l’apparition du terrorisme islamique et, mais c’est très personnel, j’avais apprécié La possibilité d’une île, science-fiction originale, qui n’a pas eu de succès.
Prédomine le plus souvent le mauvais goût, le cynisme, une misogynie atroce, une vision négative du sexe, du couple, du travail, des personnages toujours à la limite de la psychiatrie ou carrément dedans, Extension du domaine de la lutte. Plus grave à mon avis, je sais qu’on ne fait pas de la bonne littérature avec de bons sentiments, la médiocrité de l’écriture et du style, digne des réseaux sociaux, que n’auraient pas acceptés nos professeurs de français du lycée dans nos dissertations, le remplissage, le « pissage » de lignes, le coupé-collé indigne, le marronage journalistique…
Dans les soixante premières pages de ce livre, la sexualité de ses personnages, des considérations sur l’expression « faire l’amour », c’est ringard d’origine piétiste, comment ne peut pas utiliser « baiser », une digression sur l’hôpital, la mort, le Rhône majestueux, la grandiloquence des menus des restaurants… si j’arrive à la fin, je ne manquerais pas de faire un postscriptum vous signalant les passages originaux ou plaisants.
Pourquoi l’intelligentsia, jusqu’aux ministres se gargarise avec Michel ? Je n’ai jamais compris. Cela les excite de s’encanailler ? À peu de frais ?
Quant à Michel, il doit sourire « puisqu’ils aiment, je peux leur en écrire encore » mais il doit quant même bougrement s’ennuyer même si probablement il fait cela très vite avec le numérique et les aides des éditeurs.
PS Je l’ai terminé, je n’ajouterai rien d’autre

De tonalité kundérienne, Anéantir est peut être le maître-livre de l’auteur, vieux jeune homme à l'insolence désabusée, diablement intelligent et drôlement ficelle, dont les saillies les plus acerbes ne manquent pas de heurter.
Sous un ciel gris, pas mal de sexe et d’alcool, et pour finir un rendez-vous avec la mort, la plongée dans le néant. Le péché originel du christianisme ose un personnage, c’est l’espérance. Le dégrisement est complet, un déniaisement total, sans nul recours à de merveilleux mensonges.
On s’étonnera de voir le TGV débouler à 327 km/h à l’approche de Laroche-Migennes (p. 101), et traverser la gare de Chalon-sur-Saône à 321 km/h (p. 130), quand l’écrivain fait l’éloge de la documentation (p. 734).
